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Psy, science & fun

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Livres de référence

Voici une page dédiée à des livres de référence sur certaines thématiques. Chacun d’eux aura un lien hypertexte cliquable pour accéder à sa présentation.

Pour information, nous considérons qu’un livre peut être un livre de référence s’il répond aux critères suivants :

  • Traiter de la thématique qu’il prétend traiter (cela peut sembler évident, mais …).
  • Sourcer ses arguments (bibliographie avec des sources crédibles et diversifiées, voir bas de page pour en comprendre l’importance que nous y accordons).
  • Transmettre une information claire et intelligible.
  • Offrir une première approche théorique du sujet suffisamment développée pour en comprendre les principales idées, et permettre ensuite aux lecteurs de compléter les informations à l’aide de la bibliographie.

Concernant la psychologie du travail, notamment la prévention des risques psychosociaux et la qualité de vie et des conditions de travail :

Ben-Shahar, T. et Ridgway, A. (2018). Le bonheur d’être leader (traduit par J. Y. Katelan et C. Martin-Krumm). De Boeck Supérieur.

Castro, D. et Guinot, C. (2018). Animer des groupes de professionnels en institution. Dunod.

Chignard, A. (2022). Bien dans votre job : Les 25 astuces du psy. . . pour éviter d’aller le voir. De Boeck Supérieur.

Chignard, A. (2022). Burn out : Des histoires vécues pour le prévenir, l’éviter, s’en sortir. Mardaga.

Desrumaux, P., Jeoffrion, C. et Bernaud, J.-L. (Dir). (2019). 10 études de cas en psychologie du travail et des organisations. Dunod.

Edmondson, A. C. (2018). The fearless organization : Creating psychological safety in the workplace for learning, innovation, and growth. Wiley.

Forest, J., Van den Broeck, A., Van Coillie, H. et Mueller, M. B. (2022). Libérer la motivation avec la théorie de l’autodétermination. Edito.

Gatti, F. (2023). L’autruche et le curieux. Enrick B. Editions.

Machado, T. (2015). La prévention des risques psychosociaux. Presses universitaires de Rennes.

Nguyen, C. et Brun, J. P. (2021). Santé psychologique au travail et Covid-19. De Boeck Supérieur.

Pfeffer, J. et Sutton, R. (2007). Faits et foutaises dans le management (traduit par S. Rolland). Vuibert

Piermattéo, A., Cléty, H., Schoenenberger, S. et Demarey, C. (2022). Qualité de vie et santé au travail : théorie et pratiques. Septentrion.

Concernant la santé mentale de façon générale, la psychopathologie, les prises en charge ou les psychothérapies :

Bachelart, M. (2017). L’approche intégrative en psychothérapie : Anti-manuel à l’usage des thérapeutes. ESF Sciences Humaines.

Bordaberry, P. (2023). Ce n’est pas toi le problème ! Leduc.

Chassangre, K. et Callahan, S. (2021). Se libérer du syndrome de l’imposteur. InterEditions.

Fava, G. A. (2018). Well-Being Therapy. La psychothérapie du bien-être : Concepts, traitements et applications cliniques (traduit par C. Peretti, J. V. Blanc et M. V. Chopin). Elsevier Masson.

Fradin, J., Aalberse, M., Gaspar, L., Lefrançois, C. et Le Moullec, F. (2020). L’intelligence du stress : Mieux vivre avec les neurosciences. Eyrolles.

Franck, N. et Cellard, C. (Dir.). (2020). Pair-aidance en santé mentale. Une entraide professionnalisée. Elsevier Masson.

Orban, P. (2022). Psychothérapies pour le trouble du stress post-traumatique : exposition prolongée, retraitement cognitif, thérapie cognitive du TSPT, EMDR. Dunod.

Rogers, C. R. (2018). Le développement de la personne (traduit par E. L. Herbert). InterEditions.

Rollnick, S., Miller, W. R. et Butler, C. C.  (2018). Pratique de l’entretien motivationnel. Communiquer avec le patient en consultation (2e éd.)(traduit par P. Michaud, D. Lécallier et E. Languerand). InterEditions.

Pour comprendre, de façon générale, notre fonctionnement social et cognitif et interroger nos certitudes :

Barbillon, E.  (2023). Déjouer les biais cognitifs. Stéréotypes, préjugés : ne vous laissez plus berner par votre cerveau. Marabout.

Demoulin, S.  (2014). Psychologie de la négociation : Du contrat de travail au choix des vacances. Mardaga.

Elissalde, B., Tomas, F., Delmas, H. et Raffin, G. (2019). Le mensonge : Psychologie, applications et outils de détection. Dunod.

Hodent, C. (2022). L’UX, c’est quoi exactement ? Une approche bienveillante pour des expériences optimales. Dunod.

Moukheiber, A. (2020). Votre cerveau vous joue des tours. J’ai lu.

Moukheiber, A. (2024). Neuromania. Le vrai du faux sur votre cerveau. Allary Editions.

Ndobo, A. (2010). Les nouveaux visages de la discrimination. De Boeck.

Concernant la recherche du bonheur, du bien-être et les pratiques prétendant y parvenir :

Cederström, C. et Spicer, A. (2016). Le syndrome du bien-être (traduit par E. Jacquemoud). L’échapée.

Neuville, C. (2020). Ma bible de la psychologie positive. Leduc.

Seligman, M. E. P.  (2023). La fabrique du bonheur : Vivre les bienfaits de la psychologie positive au quotidien (traduit par J. Lecomte). J’ai lu.

Argumentaire pour l’importance du critère des sources bibliographiques :

On pourrait s’interroger sur la pertinence de rechercher et mettre en critère la présence des sources bibliographiques, notamment pour des livres souhaitant diffuser simplement et efficacement de la connaissance dans le cadre d’une vulgarisation. Certaines maisons d’édition semblent d’ailleurs réfractaires à l’idée d’inclure une bibliographie et nous avons déjà vu des éditions françaises placer la bibliographie hors du livre (sur un site géré par les traducteurs par exemple). Pour autant, il s’agit selon nous d’un critère important, y compris dans le cadre de la vulgarisation, pour plusieurs aspects et nous allons en présenter 3 principaux, sans être exhaustifs, qui nous semblent utiles à préciser au plus large public :

  • Différencier l’avis de la connaissance. Si je dis dans mon livre ou dans mon article que « la détresse psychologique des travailleurs français reste élevée en 2023 », qu’est-ce qui vous prouve que ma phrase se fonde sur une connaissance ? Pourquoi ne s’agirait-il pas d’un avis personnel lié à mes enjeux ou orientations politiques, ou d’une représentation qui se fonde uniquement sur les personnes que je rencontre dans le cadre de mon activité avec un inévitable biais ? En revanche, si j’inclue la source de mon propos (dans notre exemple : les baromètres réalisés par Empreinte Humaine, avec une précision sur la date de celui pris en compte), voire un lien pour y accéder (dans notre exemple, le lien vers la page du site du cabinet, mais cela peut être un identifiant d’objet numérique sous forme de lien DOI pour un article scientifique), alors on peut savoir qu’il s’agit d’une connaissance, la vérifier, la préciser et y accorder ou non du crédit.
  • Comprendre les contradictions. Si, dans un article ou dans un livre, je lis une information (par exemple que les ateliers de pleine conscience améliorent le bien-être subjectif au travail) puis, dans un autre article ou livre, son contraire (par exemple que participer ou non à des ateliers de pleine conscience ne modifie pas le bien-être subjectif au travail), alors je peux être perdu. Sans source pour étayer les conclusions de chacun, je peux choisir de croire l’une des deux assertions en fonction de différentes variables : elle correspond à mes croyances ou représentations, elle est proclamée par quelqu’un qui me semble plus crédible (par exemple car il enseigne dans une école ou université prestigieuse alors que l’autre personne est un psychologue exerçant dans une petite collectivité dans un village du sud-est de la France), elle est mieux mise en valeur (par exemple avec une infographie ou des allégories favorisant la compréhension du message tandis que l’autre n’est que très peu vulgarisée) ou elle m’est déclarée dans un contexte qui facilite son intégration (par exemple lors d’un séminaire d’entreprise pour lequel j’ai été sélectionné grâce à mon rôle dans l’organisation et durant lequel je peux échanger avec le conférencier, alors que j’ai lu l’autre déclaration dans un post Linkedin de quelqu’un qui présente les conclusions d’une étude rapidement, entre deux traitements de mails). Avoir les sources qui étayent chacun des arguments permet de comprendre la contradiction apparente (par exemple, ce qui semble parfois contradictoire peut être lié à des différences de définition de concept, à des différences de méthodologie d’étude, à des différences de population étudiée etc. et n’être pas tant une contradiction qu’une précision de la première information que j’ai lue) et accorder ou non ma confiance à une connaissance en étant moins influencé par différents biais présentés auparavant.
  • Continuer à développer ses connaissances. Ce que je lis dans un article ou livre peut être intéressant, mais il peut m’être utile de comprendre comment le phénomène a été étudié, les outils utilisés, vérifier si d’autres études complètent l’information que je lis ou connaître le cadre théorique dans lequel s’insère l’information que j’ai lue (par exemple, si je lis que la période Covid et post-Covid a augmenté l’impact de la vie privée sur la vie professionnelle et inversement, cela n’aura pas la même implication si je considère qu’il y a une frontière distincte entre ces sphères de vie qui seraient alors forcément exclusives et où toute interaction entre ces sphères est mauvaise ou si je considère qu’il s’agit plutôt d’une interface permettant des échanges positifs et négatifs entre elles). Avoir une source bibliographique me laisse la possibilité de creuser davantage chacun des sujets, si je le souhaite.
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